Le CA Anjou Maine m'impose son assurance à un taux exorbitant de 1,26% du capital initial et m'empêche d'en changer par tous les moyens
Avec mon mari nous avons signé un prêt en mars 2005 auprès du Crédit Agricole Anjou Maine. Comme nous avions déjà chacun une maison mon mari et moi, que nous revendions pour l'acquisition de ce nouveau bien, nous avions un gros prêt relais en sus du prêt principal. Pour l'assurance, le Crédit Agricole nous imposait son contrat d'assurance décès incapacité CNP. Dans le cadre de ce contrat , nous avons subi une sélection médicale totalement incroyable avec des examens complexes à cause du capital élevé souscrit. A l'issue de cette étape, mon mari a vu sa cotisation doubler pour un problème éphémère alors que nous n'avons aucun problème de santé conséquent. Ainsi notre assurance à nous deux représente 1,26% du capital initial, soit plus de 50 000€ sur la durée du prêt, le quart de la valeur du bien !
En 2011, nous avons émis l'idée de changer d'assurance ce que le Crédit Agricole a immédiatement éludé en disant que nous devrions alors renégocier le prêt dans une autre banque.
En 2013, nous avons souscrit un autre contrat aux garanties équivalentes et avons signifié notre résiliation au Crédit Agricole et transmis une délégation d'assurance à leur profit. Ils ont répondu que ceci était impossible, prêt et assurance étant liés.
Pourtant, le Crédit Agricole me prélève séparément les échéances de prêt et l'assurance, sur un compte que j'approvisionne spécifiquement tous les mois. Pendant des années, ces deux sommes séparées étaient prélevées au même moment sur le compte. Depuis quelques mois, sans me prévenir, le Crédit Agricole a changé la date de prélèvement de l'assurance pour la prélever avant le prêt, m'empêchant ainsi de ne plus régler leur assurance et ignorant ma demande de cesser de me prélever.
Pour finir, le Crédit Agricole me dit que
Je suis déterminée à ne pas abandonner ma demande, car ces pratiques sont scandaleuses : on vous impose une assurance au départ, avec une cotisation fortement majorée et puis on vous refuse d'en changer par la suite.